"Johan GAUDOUX, Responsable des Jeunes Populaires de Martinique, regrette la campagne de communication de certains élus sur la situation actuelle du transport dans le centre de la Martinique, le manque de dialogue et d’actions afin de mettre un terme à ce conflit, ainsi que les faits de violence qui se sont déroulés au sein d’une entreprise à Saint-Joseph, le Mercredi 2 Octobre 2013.
Après avoir rencontré un certain nombre de grévistes, ainsi que le secrétaire général de la CSTM, ce Mardi 1er Octobre 2013, nous pensons que seul le dialogue entre les parties concernées, est une solution permettant une sortie de conflit durable.
Au-delà de la fin de ce conflit que nous espérons très proche, nous estimons que des séances de travail entre les différents acteurs du transport sur le territoire de la CACEM sont impératives, afin que les usagers ne soient dorénavant plus pris en otage, mais surtout, voyagent en toute sécurité.
Un nouveau dialogue social doit apparaître en Martinique. Il serait temps que les syndicats patronaux et ouvriers mais aussi toutes les parties concernées par un conflit, renoncent à leurs méthodes désuètes et s’engagent sur la voie de relations plus modernes, plus avantageuses pour eux et pour la population.
Aujourd’hui, la population du centre de la Martinique est prise en otage et fait face à une bataille de communication de certains élus dans l’incapacité de résoudre ce conflit, sans la participation de la CACEM.
Les Jeunes Populaires de Martinique demandent au Président de la CACEM et au Préfet de prendre des dispositions immédiates afin de mettre un terme à cette situation.
Le dialogue est nécessaire entre les citoyens, entre patrons et salariés, entre Collectivité et administrés, car il ne peut y avoir de développement dans une société qui ne serait pas apaisée."
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